La seule composante détaillée à ce jour est la composante 1. C’est également cette composante qui fait l’objet d’une attention particulière dans le cadre de l’évaluation environnementale et sociale du projet du fait de son potentiel de génération d’effets négatifs sur l’environnement biophysique et social.
Une étude de conception préliminaire a été réalisée en novembre 2020, cette étude a analysé trois (03) alternatives au point de vue technique, environnemental, social et financier. Il s’avère que c’est le corridor sud qui a démontré la meilleure situation. Le corridor nord qui est déjà en réhabilitation reçoit des appuis financiers divers. La 3ème option analysée était la construction d’une nouvelle route qui suivait en grande partie le chemin de fer actuel. Toutefois, sa proximité avec des aires protégées existantes et son coût de réalisation ont limité l’intérêt pour cette alternative.
Les travaux qui doivent être réalisés sont des travaux communs à la réhabilitation routière soit la mise en place de couches de base, et des couches de roulement, la construction des assainissements (ponceau et fossé), installation des marquages routiers et de la signalisation et des différents accessoires servant à sécuriser la conduite de véhicule.
L’étude
Dans le cadre de l’évaluation environnementale et sociale menée sur le projet de corridor sud l’ensemble des analyses tant environnementales que sociales de la composante 1 se sont basées sur l’Étude de Conception Préliminaire (ECP) qui était le seul document technique disponible au moment du démarrage du processus d’évaluation environnementale et sociale dudit projet. La seule modification apportée est que l’emprise de la RN1 a été portée à 30m au lieu de 18m comme prévu à l’étude ECP
Le tableau suivant présente la situation actuelle et envisagée par cette étude de l’emprise maximale des sections de route qui feront l’objet de travaux.

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